I (T) Re magi Réalité ou fiction ?
Florence, vers 1459
The New Testament de Charles Williams traduit ce terme par « contemplateurs des étoiles » et met cette note : « c’est-à-dire ceux qui étudient les étoiles en rapport avec les événements de la terre. » Et pour la Bible en Français Courant, il s’agit de « savants, spécialistes des étoiles ».
Le mot grec magoï ne désigne pas des rois mais « ceux qui connaissent les secrets de l’astrologie ».
Déposées vers 1810 des parois de l'oratoire d'une villa de la famille Litta sise dans un faubourg de Milan nommé Greco Milanese,
mais sur laquelle on n'a guère de documents, ces trois fresques de Luini se situent sans doute vers 1520 - 1525.
La rigueur et l'austérité de leur organisation spatiale, caractéristique de la peinture lombarde de la fin du XVe siècle,
se conjuguent avec une influence de Léonard à qui Luini doit la douceur des expressions de ses figures et la finesse de la lumière.
mais sur laquelle on n'a guère de documents, ces trois fresques de Luini se situent sans doute vers 1520 - 1525.
La rigueur et l'austérité de leur organisation spatiale, caractéristique de la peinture lombarde de la fin du XVe siècle,
se conjuguent avec une influence de Léonard à qui Luini doit la douceur des expressions de ses figures et la finesse de la lumière.
Luino ?, vers 1485
Peint pour un oratoire de Greco Milanese, près de Milan
Vers 1475
H. : 0,38 m. ; L. : 0,56 m.
Denon 1er étage salle 4 vit 2
C’est Origène (185-245) dans ses Homélies sur la Genèse,
qui le premier fixe le nombre des mages à trois en se basant
sur les trois présents AA39 offerts. Plusieurs Pères de l’Eglise, dont en premier Tertullien, ont attribué aux mages le titre de roi.
qui le premier fixe le nombre des mages à trois en se basant
sur les trois présents AA39 offerts. Plusieurs Pères de l’Eglise, dont en premier Tertullien, ont attribué aux mages le titre de roi.
C’est Origène (185-245) qui le premier fixe le nombre des mages à trois en se basant sur les trois présents offerts.

2 e étage Salle 33

La gravure d'une Nativité, portant le monogramme de Jean de Gourmont et le nom de la ville de Lyon, a permis de lui attribuer ce tableau et de le dater entre 1522 et 1526, pendant son séjour lyonnais. ww.louvre.fr